Publié le 28 octobre 2019
– Mis à jour le 21 août 2020
Le monde entier, plus que par le passé, est déterminé à sauvegarder la diversité linguistique et culturelle pour des raisons humaines et humanitaires évidentes. Cet engagement risque toutefois de brouiller l’intercompréhension dans ce monde qui nous appelle à coopérer pour mieux opérer. Qui dit collaboration, dit compréhension mutuelle, cela va sans dire. Dans une situation de plurilinguisme, le recours à la traduction, en tant qu’outil de communication, est incontournable. Il sied alors de se demander si elle est toujours possible, utile et suffisante. Mon intervention revient sur deux obstacles majeurs qui hantent l’intercompréhension en matière de recherche et de coopération Nord-Sud, à savoir les barrières linguistiques et extralinguistiques. Pour voir le texte entier, suivez le lien ci-dessous.